Nos lettres se sont croisées.
Il y a eu, ce jourd’hui, échange de coups de téléphone entre P.P. [Paul Pilotaz] (à Gilly), sa femme (à Paris) et moi. P. [Paul], qui a reçu son livre, est affolé parce qu’il y a découvert une coquille… Cette innocence est bien touchante. Je l’ai rassuré, lui faisant dire que les coquilles 1°/ passent 9 fois sur 10 inaperçues des lecteurs 2°/ font, ensuite, la valeur des « originales »…
Il va demain à Lausanne, pour une séance de signatures. (Il en a une autre samedi, 17h., rue Mazarine.) Tout cela l’agite beaucoup, le cher garçon.
Il vient me prendre samedi matin chez moi. Sauf avis de vous , nous passerons vous prendre aux Arènes vers midi, pour nous rendre ensemble au « Cochon de lait », rue Corneille, entre 12h30 et 13h, où nous retrouverons les dames. (Je l’aurai mis au fait de tout ce qui me concerne.)
J’ai terminé ma traduction pour Plon. Je vais à présent achever l’Homo Eroticus .
C’est curieux : je suis jaloux de R. [Robert] Mallet, moins en raison de l’affaire
Le reportage du Prix de la Guilde dans le « Bulletin » de celle-ci m’a fait plaisir. Ne riez pas : c’est un peu la sorte de plaisir que doit éprouver un père dont le fils est sorti premier au baccalauréat…
[verticalement, à gauche] livré à Julius