En outre, on me parle, chez Plon, de prendre en mains le service d’ « épouillage » des manuscrits, savoir : y passer un ou deux après-midi par semaine à examiner sommairement les ms [manuscrits] reçus, écarter ceux qui à première vue ne présentent aucun intérêt et donner les autres en lecture. Je dois en parler au début de janvier avec Orengo. Ce ne serait pas grand-chose sans doute, mais ne me déplairait pas, je crois.
Oui, les jours de « fête » sont assez assommants. Mais j’y aime un certain isolement : cette « distraction » que vous dites fait, en effet, que l’on sent les gens se désintéresser de ce qui n’est pas eux-mêmes. C’est assez reposant.
Pour K. [Kerchove], Nadine et leur appartement, je « sens » comme vous. Je ne déteste pas la richesse des autres, qui, à moi-même, ne m’a jamais manqué.
Je viens – tardivement – de « découvrir » Épictète (le Manuel , éd. [éditions] Falaize, préfacé par Jouhandeau).