Je ne vois pas ce qu’il pourrait y avoir à changer à votre « Préface à toute critique ». J’en aime beaucoup (entre autres) la partie III. Je me suis permis de corriger quelques fautes de frappe, pages 9, 11 et 12 (à moins que vous ne teniez personnellement à « parti-pris » ; chacun a ses petites idées là-dessus, et j’écris toujours « bon-sens », dont le trait d’union n’est pas non plus admis par les docteurs…)
Voici le Marot . Ce n’était évidemment pas un sujet extraordinairement « inspirant » (pour moi). Faites-moi, bien entendu, réserves et critiques.
Voici enfin ces Lettres en vers , où vous trouverez peut-être des choses amusantes.
Avez-vous vu l’enquête ouverte par Char dans Empédocle (sur les « incompatibilités » ) ? Il y aurait des choses intéressantes à répondre (par exemple, sur l’incompatibilité existant entre la « vérité » politique et la vérité intellectuelle ou morale).
Si vous communiquez avec Chatté, rappelez à son bon souvenir mon ami Thuélin, libraire, 20 rue des Écoles, qui aimerait beaucoup qu’il se mette en rapports avec lui.
Peut-être pourriez-vous suggérer aussi à Fautrier-Aeply de se mettre en rapports (de ma part) avec Guy Rocca, 110 bis rue de Crimée, XIXe . C’est lui qui a mis au point ce vernis blanc dont je vous parlais et dont les résultats me paraissent remarquables. (Je vous signale à tout hasard que Rocca quitte Paris vers le 12 ou le 13 juin pour quelque temps.)
Excusez ma prudente défaillance en ce qui concerne le déjeuner projeté (avec [Bremier?]).
Et à bientôt, n’est-ce pas ?
(Il faudrait que vous me fassiez tenir avant mercredi vos deux textes pour la Table – à moins que vous ne les envoyiez vous-même à Le Marchand au plus tard vers la fin de la semaine.)