J’ai vu M. Lutigneaux. Tout va bien de ce côté. Je parlerai donc des Fleurs de Tarbes le jeudi 26, à 8h45
[horizontalement en bas de la première page] du matin
(comme cette causerie sera préalablement enregistrée, je pourrai m’écouter moi-même…)Le Marchand se propose de publier votre note sur Sartre en tête du numéro du 1er novembre. Il aimerait l’avoir également d’ici une huitaine. Longueur à votre discrétion.
Il me reste à me mettre au travail. (Je viens aussi de recevoir plusieurs « commandes » pour « V-Magazine », qui est un inavouable torchon, mais paie fort généreusement. Je ne puis, en rien refuser. Mais je suis un peu débordé…)
J’attends – si vous en avez à me donner – des nouvelles du côté de chez Gallimard. Voilà qui me permettrait peut-être de ne pas tomber dans les pièges de la polygraphie alimentaire…
(Cette référence mystérieuse était portée sur la fiche que vous m’avez remise avec le n°[numéro] de téléphone de M. Lutigneaux. Je vous la retourne à toutes fins utiles : [traces de déchirures sur le papier]
Je reçois votre mot. Fort bien. Je verrai GG [Gaston Gallimard?] lundi, 11h – et passerai vous voir aux Arènes à 18h.
(Je reçois en même temps que votre mot un coup de tél. [téléphone] de Laudenbach, qui me demande 1°/ d’interviewer Gonz. [Gonzague] de Reynold pour « Réforme » ; 2°/ de condenser les énormes romans de Troyat pour Paris-Presse… Je suis l’homme-orchestre en personne.)