Ceci vous amusera peut-être : c’est le début de ma prochaine critique pour la Table . Je vous fais grâce de la suite, qui traitera de quelques livres d’un intérêt relatif.
Au cas où la co-traductrice à qui j’ai fait appel me ferait défaut, ne connaîtriez-vous pas quelqu’un qui accepterait, sans trop en faire une question d’argent, de traduire pour moi quelque 200 ou 250 pages du livre dont je vous ai parlé ? À titre documentaire, à la personne en question j’ai offert 100 fr. [francs] la page (25.000 pour 250 pages, à traduire en 3 semaines environ). Ce n’est pas énorme (je ne puis malheureusement pas faire mieux : vous connaissez ma situation) – mais en revanche je promets à l’intéressé(e) du travail, au tarif normal cette fois, dans la collection de romans « fantastiques » traduits de l’américain que va sortir Hachette, et dont je suis « conseiller littéraire ».
Ne me répondez pas avant 2-3 jours : j’attends d’ici là une réponse de Mme Jacqueline Sellers.
Je passe chaque jour par de
N’est-il pas curieux que les conditions où je vis depuis cinq ans (cinq ans, très précisément, ces jours-ci) ne m’aient pas encore enseigné à vivre au jour le jour ? Je n’étais décidément pas fait pour l’aventure…