Si j’étais critique dramatique je serais fort embarrassé. Car il me faudrait, j’en ai peur, faire un grand effort pour ne pas dire que les Caves sont fort ennuyeuses, si leurs décors sont charmants. C’était assez, nous a-t-il paru, le sentiment des spectateurs.
Le premier acte est plaisant, le deuxième point du tout, le troisième assez interminable. Les « monologues intérieurs » s’inspirent d’une formule dont le cinéma n’a que trop usé. Et l’épilogue a consterné la vieille tendresse que nous gardons tous à Lafcadio : nous croyions écouter du Bernstein (l’interprète de Lafcadio n’arrangeait d’ailleurs rien).
Je suis sûr que ma franchise ne vous causera pas de peine.
Nous avons essayé de vous faire signe, de nos hauteurs, sans y réussir.
J’ai évité de trop manifester ma présence, étant déjà, à l’entrée, littéralement tombé dans les bras de G. [Georges] Lambrichs,- qui m’a d’ailleurs fort aimablement dit bonjour. Il était placé non loin de nous, avec Bremer, ce qui me donne à penser
Nous vous attendrons, comme convenu, vers 7 heures, rue des Écoles.
Vous seriez gentil de nous donner à lire votre présentation du spectacle. Peut-être y trouverons-nous des raisons d’être moins sévères ?
Merci, en tout cas, pour cette gentille invitation, qui nous a quand même fait passer une agréable soirée : il y avait quelques séduisants décolletés (et les décors de Malclès).