Merci de votre mot rassurant. À force de lire, d’écrire… et de vivre des romans « noirs », je finis par avoir des peurs absolument déraisonnables. (Il y a aussi ce « pessimisme béat » que vous savez être un de mes traits.)
Par contre, vous êtes moins rassurant en ce qui concerne Comœdia , et si l’existence matérielle ne me paraît pas poser de bien graves problèmes d’ici juillet-août, je suis un peu perplexe en ce qui concerne la suite.
Mais ce serait un comble de vous ennuyer avec mes soucis post-estivaux…
J’ai acquis une tortue d’eau, naine, au lieu de la couleur aquatique qui me faisait envie, mais qui, me dit-on, eût risqué de jeter la panique dans mon hôtel.
(Il y a de fort jolies bêtes de ce genre, rue Linné, à trente mètres de chez vous.)
La tortue d’eau (naine) semble fort fascinée par la couleur blanche, et, notamment, s’absorbe des
(Je ne pense pas qu’il faille en déduire quoi que ce soit en ce qui concerne la valeur respective des ouvrages.)
Pardonnez-moi de vous écrire sans plus de raison. C’est une manière de tromper mon désir un peu maniaque de vous écrire plus « gravement »…
(Surtout ne perdez pas de temps à me répondre.)
Mais faites-moi signe, si vous avez des manuscrits à me confier. Je passerais les prendre quand il vous plairait. (Dimanche matin, par exemple,- ou avant, bien entendu, si c’est plus urgent.)