Oui, dimanche matin, 11h1 /4 , bien volontiers.
(Pourtant, si vous ne me voyez pas, ne m’en tenez pas rigueur : j’ai, depuis deux jours, une grippe assez virulente. Je ne pense pas pourtant qu’elle m’empêche de vous voir.)
Je doute fort que j’ai droit à la carte de journaliste, n’étant attaché à aucun journal. Elle ferait pourtant bien mon affaire, cette carte – à divers points de vue. Vous pourrez peut-être m’indiquer comment la demander et si, pour l’obtenir, il ne faut pas trop se « découvrir »…
L’idée de vous revoir me réjouit beaucoup.
Pilotaz et sa femme, qui viennent de passer trois jours à Paris, sont repartis [rature] hier soir (non sans qu’il ait tenu à m’acheter la machine à écrire dont je vous parlais…) Ils reviendront en octobre. À ce moment, j’espère que nous pourrons nous réunir (avec vous).