Trois jours d’air marin m’ont déjà retapé physiquement. Quant au moral… ce n’est évidemment pas si simple. (Et les événements ne sont pas très encourageants.)
Cette idée d’un bureau de conseils littéraires est amusante. Croyez-vous que les auteurs auraient assez de modestie pour s’en remettre à lui ? Tous n’ont pas la simplicité d’un Pilotaz. Cela devrait en tout cas se faire très discrètement, pour leur permettre de sauver les apparences… Et, conseils mis à part, l’on pourrait se charger de « retaper » leurs travaux.
Nous en reparlerons.
Il m’a semblé parfois aussi qu’à certains égards nous nous ressemblions.
Je sais surtout que vous êtes l’un des trois hommes dont l’amitié m’a le plus marqué (les deux autres étant Robert Poulet et Paul Colin).
Et que cela m’est bon.
Pour le n° [numéro] sur l’occultisme de la « Table », je vous comprends fort bien. Ces numéros spéciaux ressemblent beaucoup aux enquêtes
J’ai eu de plaisants échos de votre notre sur A. [André] Rousseaux, qui a ravi bien des gens (même s’ils ne partageaient pas votre – notre – estime pour Jouhandeau).
J’essaie de me laisser vivre jusqu’en septembre-octobre. Ensuite se poseront sans doute de nouveaux problèmes (matériels). Mais peut-être Comœdia m’aidera-t-il à les résoudre ?
Pensez-vous toujours rentrer à Paris au début d’août ?
Moi, ce sera le samedi 29 juillet (sauf imprévu).