J’ai, comme on dit, « mauvaise conscience ». J’ai l’impression de vous importuner un peu à abuser comme je le fais de votre intérêt, de votre amitié et de votre bienveillance, (de votre temps aussi). Et cela me tracasse dans la mesure où ils me sont précieux. Il faudrait me le dire.
J’ai reçu les Cahiers . Merci.
Je viendrai mercredi, 6 heures, rue Sébastien-Bottin. (Pas de « mauvaises rencontres » à craindre dans votre bureau?)
Bien entendu, ne m’écrivez pas.
Mais si vous partez pour quelque temps, vous serez gentil de me dire où et comment je pourrais, en cas de nécessité, vous écrire, moi.
(J’ai beaucoup aimé – entre autres choses – le papier de Dominique Aury sur Colette.)