Voici le livre de Dumay (j’ai reçu mon exemplaire) et l’ampoule.
Je vous avais apporté la seconde rue Sébastien-Bottin, où je vous ai attendu (en vain) en bavardant avec Antonini… et Arnold de Kerchove .
À propos de ce dernier : j’imagine que, cette fois, il a dû faire le rapprochement entre G.D. [Gérard Delsenne] et Claude Elsen ? Il n’en a rien laissé voir,- mais nous n’étions pas seuls. Il ne m’a d’ailleurs manifesté aucune hostilité, et m’a même promis le livre qu’il vient de publier.
J’aimerais pourtant savoir,- car il me serait désagréable que l’on sache un peu partout (et particulièrement là-bas ) qui est Claude Elsen.
Peut-être pourriez-vous vous en assurer, et, éventuellement, faire appel à l’amicale discrétion de K. [Kerchove] ? (Il ne vous la refuserait certainement pas.) Ou me dire s’il convient que je m’adresse directement à lui. (J’ignore même son adresse.)
Il passera vous voir à la nrf [Nouvelle Revue Française] vendredi soir, et y apportera son livre à mon intention. Si vous le jugiez souhaittable, je viendrais. Si non, je vous suggérerais de prendre ce livre (vous me le donnerez
Qu’en pensez-vous ?
Le Marchand vient de retourner son article à Bosschère, avec une lettre fort aimable (mais tout de même de refus).
La situation internationale prend à nouveau une tournure rien moins que rassurante, n’est-ce pas ?
(Je saurai dans huit jours qui sont Jacques Pleyber et Saint-Germain,- par Le Marchand)