Mon ami Gallet me dit :
1°) qu’il y a, dans les œuvres complètes de Lovecraft (qu’il possède en anglais) plusieurs nouvelles assez courtes d’un intérêt au moins égal à celles qu’a traduites J. [Jacques] Papy pour Denoël. Il va voir cela de plus près, en pensant à nous (et à la nrf [Nouvelle Revue Française ]). Pour le cas où vous souhaiteriez lui rappeler ou lui préciser vos souhaits : Georges-H. Gallet, 3 square du Thimerais, XVIIe ;
2°) qu’il possède également sur Lovecraft une documentation inédite et assez passionnante (notamment des lettres de Lovecraft, des détails biographiques, etc.) dont, ensemble, nous pourrions sans nul doute tirer quelque chose.
Qu’en pensez-vous ?
J’espère, d’ici une quinzaine de jours (lorsque j’en aurai fini avec le rewriting du bouquin sur le Japon dont je vous ai parlé), avoir un peu de temps libre, pour m’occuper de cela.
Toujours sauf avis de vous, nous vous retrouverons mercredi prochain, 13h, à la Reine Blanche , n’est-ce pas ?
Rien de nouveau du côté Amiot-Dumont – pour qui je mets au point, ces
Lily nous écrit 1°) que Paul, à Coyah, a les plus gros ennuis avec un champignon insolite qui s’en prend aux bananiers, 2°) que ledit Paul a beaucoup goûté le spectacle de striptease auquel nous les avons entraînés, mais elle (Lily), non. Cela dit, elle nous semble à nouveau « cafardeuse ». Elle n’est décidément pas faite pour Gilly. Comment est-ce possible ?
[en haut de page, souligné et en rouge] MA.