C’est toujours ainsi : d’octobre à janvier, je n’ai eu pratiquement rien à faire ; et depuis trois semaines je suis assailli de « commandes » et débordé de travail… Cela durera ce que cela durera. Mais l’abondance et l’urgence de ces travaux (alimentaires) font qu’il me serait difficile de vous envoyer ces jours-ci la note sur Simenon. Je voudrais ne vous la donner qu’à la fin du mois , si vous voulez bien.
Vous serez gentil de dire à D.A. [Dominique Aury] que c’est également fin mars ou dans les tout premiers jours d’avril que je lui donnerai l’article convenu sur les Matinales de Chardonne (pour le Bulletin de la Guilde).
(En outre, et entre nous soit dit, il m’arrive une chose à la fois ridicule et désagréable : il me faut me débarrasser d’un ver solitaire – ce qui est moins facile qu’on ne pourrait croire…)