Évidemment, Lambrichs a bénéficié du fait qu’il devait être appointé – auquel cas l’indemnité de licenciement est automatique. N’ayant pas de carte de travailleur étranger, on me versait ma rémunération au titre d’honoraires , ce qui non seulement fait payer plus d’impôts, mais ne permet pas d’exiger une indemnité. Si j’allais en pareil cas en justice, c’est moi qui serais poursuivi pour avoir touché une rémunération mensuelle fixe sans permis de travail…
Tout ce que je puis faire, c’est donc en appeler à un certain fair-play. Je l’ai fait, sans plus de résultat chez Amiot-Dumont qu’il y a deux ans chez Plon. Mon seul espoir serait que Roditi intervînt avec conviction en ma faveur… Le fera-t-il ?
(Bien entendu, je ne fais ni ne ferai pas allusion au « précédent » Lambrichs.)
Nous ne soupçonnions pas plus que vous les ennuis de Paul Pilotaz. Qui expliquent évidemment
Les miens (d’ennuis) influent malheureusement sur ma santé : voilà que je me mets à avoir une tension abusive, moi qui ai toujours été hypo-tendu [hypotendu]. Cela n’arrange rien (migraines, fatigue, nervosité, etc.) Il paraît que je devrais me reposer, me détendre, au propre comme au figuré – alors que, justement, je suis contraint à m’agiter pour chercher du travail, que d’ailleurs je ne trouve pas. C’est un cercle vicieux…