Le 4 [1951]
Cher Jean,
Jérôme Lindon m’informe, à mon retour, de la situation périlleuse des Ed. et des démarches qui auraient déjà été entreprises pour la redresser.
Accepteriez-vous, très prochainement, de déjeuner avec nous, dans le quartier ? Nous voudrions vous en parler sans détours.
Fidèlement vôtre
Georges.