Le 30 [1954]
Cher Jean,
On me dit, au téléphone, que vous êtes souffrant et couché. Je n’ose venir vous voir. Mais je voudrais recevoir un mot qui me rassurerait.
Mes vacances sont bien finies. Elles m’ont permis à la fois de me rapprocher de mon travail et de reprendre une vue saine et distante de mes vieux [conforts ?].
Fidèlement vôtre
Georges.