Le 20 [1955]
Cher Jean,
Votre mot est bien décevant. Je croyais être soutenu au moins par vous dans ce que je voulais faire. Ajouterai-je que cette idée suffisait pour m’encourager secrètement à poursuivre certaine recherche et, pourquoi ne pas le dire, à mener certain « combat ». Bien sûr, ce n’était qu’un sentiment : il m’a beaucoup aidé. Mais peut-être, cette fois, vous ai-je mal compris.
À vous
Georges.