Revenons à « Un défaut de la pensée critique », mais entendons-nous d’abord : ce dont je vous parlais, ce dont je veux vous parler n’est pas une critique, c’est une réflexion. J'entends bien que votre désir est de conclure, - entre autres conclusions – par : « il n’y a pas de rhétorique », ou plutôt : « La rhétorique n’est pas ce que vous pensez ». Mais lorsque, à travers une série d’exemples, vous montrez la critique
Mais l’écrivain accusé n’exprimait pas, me semble-t-il, un sentiment, il exprimait une différence, il exprimait ce par quoi un sentiment déjà exprimé par d’autres était vivant en lui et par lui. Et je ne dis pas que vous refusiez cette idée de
A quoi vus répondez sans doute que je tends à parler de ce que vous avez pensé ou écrit (la Sémantique
ou les Fleurs
) beaucoup plus qu’à ce que vous avez publié dans « Commerce ». C'est certain : ce qui prouve que les écrivains devraient être muets, car si nous n’avions pas parlé de cet article vous ne m’auriez pas parlé de la tendance etc...A propos du rythme le passage auquel je pensais commence page 38. Je ne doute pas de la valeur de vos
Mes hommages à Madame Pascale, je vous prie. A bientôt, et bien amicalement à vous
J'ai vu le projet de publicité des « Conquérants » apporté à la N.R.F. C'est l’un de ceux que j’avais écrits sous la dictée de Peyronnet, et auxquels j’avais ajouté : à écarter (!) La question est-elle résolue, ou Peyronnet insiste-t-il ? (D'ailleurs, s’il insiste, n’hésitez pas à l’envoyer au diable.)