Je reçois un mot de Fleuret, qui a eu l’occasion de dîner avec Dorgelès et qui lui a – prudemment – parlé d’Arland. D a oublié l’article dont vous m’avez parlé ; il prétend ignorer complètement Arland, et ne fera donc nulle campagne contre lui. Il soutiendra seulement son candidat « pour des raisons sentimentales ».
Je vous prie de présenter mes hommages à Madame Pascal et de le croire bien amicalement à vous