C'est, une fois de plus, une reconnaissance considérable que je vous dois. Et je ne sais comment vous l’exprimer.
Tout s’est donc passé à merveille, hier, à la Caisse Centrale de Réassurance. Directeur et adjoints ont été charmants. Et j’ai la promesse quasi formelle d’un appartement splendide !
Je passerai sûrement à la N.R.F. ce mercredi (ou en tout cas le suivant, car j’ai, pour celui-ci, un empêchement prévu de longue date, qui me retiendra peut-être trop tard) et je vous donnerai tous les détails de l’affaire; Mais je ne veux pas attendre un jour de plus pour vous remercier, puisque c’est à vous que je dois cette chance- inespérée vraiment.
Une seule ombre : ce n’est que dans 18 mois (ou 2 ans...) que les locaux seront habitables. C'est aussi, me dit-on, parce que la date est un peu lointaine que la chose a pu se faire. Alors je ne m’en plains pas.
Il me faudra cependant chercher encore un petit local provisoire; Je vais voir ce que peut faire Léo [Soutay?]. Mais c’est déjà un soulagement énorme de savoir que, de toute façon, j’ai quelque chose d’assuré pour bientôt.
Aussi je ne crains pas de vous répéter, encore une fois, ma gratitude.
Votre bien fidèle