Vous savez que j’ai d’autres raisons encore que l’amitié pour m’attrister de cette nouvelle que je prévoyais depuis quelques jours. Je vous suis reconnaissant de m’avoir fait connaître votre père, qui m’a laissé une vive impression, et que je regrette maintenant de n’avoir pas importuné davantage.
Je n’ai pas pu tenir tout à fait dans les dimensions que vous m’aviez prescrites, mais je voudrais bien que vous n’écourtiez pas cette notice. Je voudrais aussi, si cela vous agréait, consacrer à votre père la chronique qui suivra celle sur Meredith.
Affectueusement,