j’ai voulu réfléchir avant de vous répondre. J'aurais été content de vous faire cette conférence, mais c’est un peu un travail en dehors du travail, et j’'ai le sentiment que depuis quelque temps, je me livre trop à cet exercice. Cette conférence, je serais tenté de la répéter ailleurs ; d’où perte de temps. Bref, je ne puis la faire pour le moment. Mais je suis très sensible à votre demande, et dites bien que dès que je serai devenu conférencier, j’irai à Francfort.
Fidèlement à vous
J'aurais sans doute un texte assez long Mon mariage. C'est en quelque sorte une suite de Silbermann. Et je compte vous l’apporter en décembre.
[Ajout manuscrit de la main de Jean Paulhan, en haut de la lettre: à Körner]