13 avenue d’Eylau
Je comprends vos raisons en ce qui concerne la petite nouvelle de Katherine Mansfield. Je vous remercie de l’indication que vous me donnez. Je la transmets à la traductrice. Mais, si elle veut en faire usage, je pourrai, sans vous déranger, aller trouver Gabriel Marcel, que je connais.
Je vous remets avec cette lettre une petite fantaisie née d’un voyage en Italie et d’une re-lecture d’Armance. Si vous jugez qu’un tel amusement est digne de la Revue, prenez-là. Mais je comprendrai aussi bien le
Bien cordialement,