Merci. Très simplement. Je suis profondément touché par la façon dont vous avez accueilli ce poème.
Davantage encore, - plus intimement, si je puis ainsi parler – merci de vos deux remarques pénétrantes, qui m’ont éclairci soudain sur des faiblesses qu’il m’aurait fallu quelques mois pour entrevoir. De cela, je suis très, très content.
Et maintenant je ferai de mon mieux pour me rendre, si je le puis, plus digne de votre confiance : commence l’Art pour moi, que ce poème ne peut et ne doit être qu’un point de départ.
Veuillez agréer, Monsieur Paulhan, l’expression de mes sentiments de sympathie et de respect,
24 rue des Fossés Saint-Jacques Paris 5è