accom
Robinson avait assez bien assuré sa vie matérielle –
des habits de peau et de plumes
Il avait un bon toit et de<s> poisson séché, et le temps
un panier quantité
n’était plus qu’il devait courir tout le jour après son dîner
Le loisir que ces conserves, cette demeure durable représentaient
et qu’il dépensait tout d’abord à regret
il avait oublié galettes grossières temps futur
l’amour
argile
Un homme enchaîné Math nomme bien
devenu un mort Robinson au milieu de ses ressources
le couvrir de recréant et dans la présence de son conserver ses
capital d
pour
ne souffrir le vide reconstituer la science
l’art, etc loisir
engendré comme
il y a de [] nécessité est ingénieux
sur
ornement Le loisir est subtil
Le vide Le pain s’amenuise liberté
la durée
dont l’image était La nécessité imaginaire
ces pots de terre et sa recherche
ces couffes de fibre disposition
La graisse qui est sur nos membresquand les le regard
notre mémoire qui est je ne sais où hommes sont des ressources contre l’instant sont []
l’heure favorable vient au secours [] il en naissait
de la défense []Mais [ ]
C’est vers le soir Il un trésor de quiétude
qu’il trouve sont tout un hiver Tout un hiver suite réelle de la vie
sur le sable placent du [ ] le monde imaginaire
un vestige
de pied nu Ils dégagent <dégagent> de la durée C’est dire qu’il y a
dont les parfums
accumulation
mémoire
économie
Premières provisions, peu à opération[] dans
peu nous ont détaché[s] de la vie animale l’esprit
nécessités
et du mot à mot de nos animales
besoinsIl a fallu définir des écritures
l’oisiveté des resti[tutions]
Nous avons donc dans notre []
les promesses de notre souvenir
Elle disait aussi dans son langage naïf
et qui disaient [] alors des heures en minutes