Séance du vendredi 12 août 1825.
M.M. Serres de Colombars sous modérateur
Tajan
d’Aguilar
l’abbé Jamme
de Malaret.
Le procès-verbal de la dernière séance est lu et adopté.
M. Serres-Colombars appelés par l’ordre du travail lit des réflexions sur l’esprit politique de J.J. Rousseau.
Tout est bien sortant des mains de l’auteur des choses, tout se dégrade entre les mains de l’homme.
Tel est le principe posé par Rousseau au commencement de l’Émile, principe qui a été combattu par la harpe et que M. Serres-Colombars entreprend de défendre.
Avant d’entrer en matière notre confrère fait sa profession de foi sur J. J. Il démontre le vice de ses principes en général sur la morale, sur la législation, etc.
Ce qui a été lu aujourd’hui n’est pour ainsi dire que l’introduction de l’ouvrage que M. Serres-Colombars a promis de communiquer à l’académie.
L'académie délibère de s’abonner au journal littéraire intituléLa Semaine.
La séance est levée.