Du vendredi 13 avril 1810.

M. Poitevin.

M. d’Ayguesvives.

M. d’Aguilar.

M. l’abbé Jamme.

M. de Villeneuve.

M. Dralet.

M. Desazars.

M. Jamme.

M. Jouvent.

M. Pinaud.

M. de Malaret.

M. de Lapeyrouse.

M. Carré.

M. Desmousseaux.

M. d’Escouloubre.

M. de Malaret a lu l’Eloge de Clémence Isaure qu’il doit prononcer dans la séance publique du 3 mai.

L'Académie, après avoir entendu M.M. les proposants du sujet de prose, a délibéré de redonner le même sujet ainsi posé comme l’année dernière : Quels sont les avantages que les poètes et les orateurs peuvent retirer de l’étude approfondie des livres saints et de la littérature ancienne.

Sur ce qui a été observé qu’il faudrait peut-être indiquer aux auteurs la marche qu’il devrait suivre pour traiter ce sujet conformément aux vues de l’Académie, il a été délibéré de laisser à chacun la liberté de se tracer lui-même le plan qui lui paraîtra le plus raisonnable et le plus lumineux.