L’Épitaphe d’un quidam mort en dansant.
Ci-gît Pasquier surnommé le danseur Lequel on n’eût en dansant pu reprendre, Car il était de la danse si sûr Qu’un menestrier n’eût su rien lui apprendre. Toujours soulait quelque danse entreprendre, Toujours disait je mourrai en dansant, Ce qu’il a fait un branle commençant. Prions à Dieu qu’il lui soit pardonné Car il était plus doux qu’un innocent Fors qu’il était aux danses destiné.