Dizain.
Une Nonnain, très belle et en bon point, Se complaignait d’avoir laissé le monde. Et je lui dis : « Ma sœur, il ne faut point Avoir regret à chose tant immonde, N’avez-vous pas Jésus-Christ pur et monde Pour votre époux en profession pris Au nom duquel sont conjoints vos esprits ? » « Oui, dit-elle, et ne le veux lâcher, Mais Jésus-Christ est époux des esprits, Et je demande un époux pour la chair. »