Le jardin, avec ses arbres mouillés encore de rosée, et dorés de soleil levant, s’étendait comme un décor de féerie avec la toile bleue du ciel au fond.
Tout ce remuement de verdure heureuse, dans la vie nouvelle du matin, l’appelait, lui tendait ses ramilles secourables, semblait implorer son pardon, disait dans ce langage des choses, qu’il y avait pour