Que de maux ont germé sous ton royal soleil !...
La brise qui soupire à l’ombre de tes anses,
Où la mer endormie assourdit ses cadences,
Frémit et pleure encor[e] sur l’éternel sommeil
De la tribu suave, indolente et pensive
Qui mangeait tes fruits d'or et buvait ton eau vive.