Francesca, en causant ainsi avec elle, arriva dans sa petite maison, située non loin du rivage, à l’ombre de quelques grands arbres. Le mari, assis sur le seuil de la porte, réparait ses filets et chantait. […] L’air de satisfaction et de sérénité qu’ils trouvèrent sur la figure du jeune pêcheur et sur celle de sa femme, les intéressa et les toucha.