Tu fuis les bals où elle [Marie, sa fille et sœur de Jules Bonhomme] veut t’entraîner et tu vas je ne sais où, absorbé en toi-même. Est-ce à la campagne ? – Parcours-tu les champs et les forêts ? – Je ne crois pas. – Notre végétation luxuriante, étalant toutes ses richesses tropicales sous notre beau soleil emplit l’âme de douces et suaves pensées, et ton front, sombre comme le sommet de nos montagnes par une nuit d’orage, révèle un homme soucieux, chagrin, malheureux enfin ! As-tu quelques peines de cœur ?