Au-dehors, le formidable soleil brûlait la terre et faisait rutiler le feuillage des manguiers qui se renouvelaient ; les palmistes impassibles semblaient dormir debout, la chevelure lentement agitée par le vent d’ouest qui commençait à se lever. Un silence énorme dans la lumière crue, ennuyeuse et calme, enveloppait et pénétrait la villa où tout le monde sommeillait paisiblement…