Effectivement, un mince rideau d’arbres se présentait aux pèlerins comme la limite des deux savanes.
Ils passèrent sous les branches et se trouvèrent comme par enchantement en présence de la savane dite Madan Michel. D’autres décors, d’autres paysages s’offrent au regard de plus en plus charmé. Une vallée immense décoré de çi [sic], de là, de bouquets d’arbres, mamelonnée de collines en certains endroits, tapissée de gazons à fleur d’or, se déroule à perte de vue…