Foncine n’avait sur la mer des Indes et sur les îles qui sont baignées par elle que des notions vagues et générales ; toutefois il en parla avec aplomb et comme quelqu’un qui aurait étudié en amateur la faune et la flore de ces pays merveilleux. Il eut des mots charmants pour comparer leurs grottes aux gueules démesurées, leurs arbres gigantesques, leurs ravines, les cimes de leurs monts toujours perdus dans la brume aux cavernes et aux pics pyrénéens, aux gaves, aux sommets toujours casqués de blanc qui séparent la France de l’Espagne.