Encore que Concarneau soit située presqu’au point de séparation du climat séquanien et du climat girondin ; que les lauriers, les grenadiers, les myrthes, les aloës, les camélias et foule d’autres espèces des pays chauds y grandissent en pleine terre ; que les gelées y soient inconnus, dès la seconde quinzaine de septembre, Mimose prétexta des fatigues, fit la languide, affirma qu’elle commençait à ne plus pouvoir supporter le froid humide, que le climat de Concarneau lui serait fatal et fatal à Édriss.