Dès le jeune matin, ils s’enfonçaient sous bois, se poursuivaient à travers les champs, flânaient sous les allées et battaient en tout sens les remises qui auraient pu servir de viandis. Ils dépouillaient sans vergogne les buissons en fleur, franchissaient les haies vives ; l’
Ils admiraient, sans se lasser, aussi bien les levers de l’astre que les midis lourds sous lesquels toute vie paraît suspendue, les crépuscules, ces aurores du soir. La nuit, un nuage noir et rouge, une espèce de colonne de fumée, leur indiquait
Aux heures chaudes du jour, ils se mettaient au frais sous une allée de