Il sortit du bassin ; et gagnant le large, se dirigeant vers l’endroit désigné, il me déposa une heure après au sahel, non loin de la première auberge : la lune était belle, le vent frais ; au lieu de me rendre à la voie, je me promenais plutôt sur le sable, contemplant l’ondulation des vagues mourant mollement au pied des rochers. Je continuai ma promenade, ordonnant au canotier de venir me trouver à un autre point ; je m’éloignai un peu de la mer : j’avais à peine parcouru cent pas que je rencontrai mon inconnue de la veille