Ils se trouvaient dans une immense salle presque octogone, encaissée de tous côtés, sans solution de continuité, sans la plus petite fissure, par les murailles de la montagne colossale, évidée ainsi dans ses flancs sous un caprice de la nature. De ces murailles, des arbres pendaient vivaces, luxuriants, répandant tout autour d’eux leur abondante chevelure. Au haut, la voûte du ciel, lumineux et infini, resplendissait.