J’ai désiré revoir Alger, son sahel, ses forêts artificielles d’eucalyptus, j’ai voulu des mamelons de l’Atlas contempler Blidah, ses blanches maisons, ses orangeries, ainsi que la belle allée de ces arbres océaniens qui partent de la mer et qui aboutissent à ses portes ; j’étais avide de visiter Tunis, La Goulette, transformés en cités contemporaines, et de saluer encore une fois la terre d’où j’ai rapporté de douces impressions !