ils étaient presque réduits à dérober pour leur nourriture les plantes qu’ils cultivaient de leurs bras ; à peine osaient-ils cueillir de l’arbre le fruit mûrissant à leur porte ; c’est qu’en effet leur jardin et leurs fruits appartenaient à un autre, dont ils étaient eux-mêmes la propriété méprisée, tremblante.