Le soleil est à plus de la moitié de sa course ; son disque incliné rayonne dans un ciel éclatant et sans nuages. Le paysage qu’il éclaire semble défier la peinture.
Il y règne ce désordre pompeux, ce gaspillage opulent dont on n’a pas l’idée au-delà des
Livrés au repos dans le silence profond de cette solitude, Romulus et Rémus éprouvent une sorte d’abattement qui gagne peu à peu leur âme.