Paris, le 18 mars 1931.
Cher Monsieur, en dehors d’une sympathie que vous savez très vive, et qui fait que je prends part à votre deuilFrédéric Paulhan, père de Jean Paulhan, était mort le 14 mars 1931., j’ai encore plus d’une raison de ressentir la mort de cet homme libre, qui parlait seulement en son nom, et ne concéda jamais rien à aucun genre de pouvoir.
De tout coeur, croyez-le, votre
Alain