Nous sortons de Grenade les yeux eblouis par ses palais, ses jardins des mille et une nuits - nous serons demain à Valence pour la Fête des Fleurs - L’Espagne est remplie de mains tendues, qui arrivent à vous fatiguer : nous leur recitons maintenant les vers de Victor Hugo !
Il faut que l’herbe passe
et que les enfants meurent
Je le sais, o mon Dieu -
Je vous envoie mille et une amitiés –