Je comprends très bien votre impossibilité. Le 1er octobre, ami, je pense que cela serait trop tard. Alors, j’envoie la chose à la Revue Hebdomadaire. Si j’ai qq chose qui puisse paraître en Octobre chez vous, je tâcherai de vous en avertir à temps. D'ailleurs nous nos reverrons sans doute bientôt à Paris, où je compte aller en Septembre.
Bien à vous