Je crois, Jean, que tu ne devais pas, le premier jour de mon retour, me signaler les négligences du dernier n° (fautes d’ortographe, signature Duvignaud tout de suite avant note sur D). Tu paraissais trop me dire que, toi absent, je ne pouvais rien faire de bon. Alors que, autant que j’ai pu, je t’ai tenu au courant des modifications apportées au sommaire. Et alors que je n’ai jamais pensé que, toi absent, la revue pût être ce que tu la fais.
Si c’était pour rabattre le caquet de Mme de Bie, bon, mais voilà que tu appliques
« Mettons que je n’ai rien dit »