Espace Afrique-Caraïbe

Espace Afrique-Caraïbe


Votre recherche dans le corpus : 122 résultats dans 1109 notices du site.
Collection : Le critique (Manuscrits de Jean-Joseph Rabearivelo)

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Poésie folklore 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Fierens II 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU MAN1 Notes poetes.jpg
L'amorce d'une étude consacrée à Marcel Ormoy, le fondateur de la revue L'Ermitage avec lequel JJR noue une relation littéraire.
JJR établit un parallèle avec son homologue Marcel Proust, tout deux placés sous " l'argument général " de la" Recherche ; " l'un ", d'un temps perdu " dans les " salons mondains " et qu'il s'évertue à éterniser par le style ; l'autre, d'un visage aimé ou d'une " personnalité " qui se noie parmi les écoles et les modes.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Livres revues I 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Livres partout I 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Lettre Tananarive 1.jpg
Rabearivelo se fait l'écho de la vie artistique tendue entre Vincennes - lors de l'Exposition 31 - et Tananarive. Il rebondit sur les discours officiels d'un Pierre Camo souhaitant que l'on "songeât sur place, et le plus tôt, à disputer à l'oubli déjà commençant l'âme même de ce pays enclose, dans sa vieille musique" et qu'à cet effet, l'on ouvrît un conservatoire. Gageant que cela ne saurait tarder avec "l'arrivée d'un gouverneur artiste et lettré, Léon Cayla", il joue son rôle de critique journaliste, avant que ce "proconsul" ne se révèle un autre "pontife", un "snob" luttant "des pieds et des mains – du postérieur et de la queue même, s’il le faut – pour que son vernis d’homme cultivé soit intact et même reluise davantage !"
Rabearivelo fit-il le pari de croire à ces rodomontades artistiques alors que l'Exposition n'était que la vitrine d'une propagande commerciale ; fallut-il que l'indigénat lui dessille les yeux, qu'un bref séjour en prison le rende moins optimiste sur l’œuvre humanitaire de la France à Madagascar ? Regard paradoxal d'un "intellectuel colonisé" vitupérant contre l'hypocrisie de la Civilisation et la guerre du Maroc, et cependant, qui salue les peintres Pierre Heidman, Jeanne Delmas, les mécènes, autant de gens qu'il veut croire désintéressés et qui concourent à la mise en contact des cultures et des peuples. Utopie, en somme, d'une colonisation qui n'aurait pas été une entreprise de prédation. Fallait-il être "fou de langue française" et résigné à la Force militaire de l'Europe pour espérer des musées et de grandes écoles dans les Colonies ! Ou bien était-ce déjà de l'ironie désabusée quand il brise là : "certains comme nous le sommes que ce vœu ne tardera pas à être exaucé" ? Faut-il le rappeler, la censure d'un état totalitaire s'y exerçait - témoins les exilés de la VVS. En tout cas, ironie rétrospective...

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Lampes 1.jpg

Collection : Le critique
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 JJR Presse.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU MAN1 Insulinde 1.jpg

Collection : Le critique
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU MAN1 Humanité epris.jpg
Un éloge de la sagesse contenue dans le code des 305 articles : "il ne manquait donc à nos ancêtres qu'un Sénèque pour commenter et discuter leur législation" conclut JJR qui subrepticement lance un appel la nouvelle génération : à elle de s'en emparer et d'interroger le droit coutumier à la lumière de ses connaissances acquises de l'étranger. Être ce Sénèque-là, c'est encore demeurer malgache.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Le critique
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Hitady ny very 1 et 2.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Gongora VF 2.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Gongora 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Fontainas 1.jpg

Mots-clés :

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Fiches lecture 1.jpg

Collection : Le polémiste
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Fête village 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Camo CV.jpg
Une introduction à un article (?) sur son " PREMIER et DERNIER ami ", le magistrat de la Cour de Tananarive, spécialiste en Droit indigène, Pierre Camo.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Le polémiste
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Cahier malgache 1 recto.jpg
Réponse à un article de l'Aurore malgache du 5 février 1932 à propos de l'affaire des rapts d'enfants. JJR y est présenté comme "correspondant de quelques journaux français de répression des indigènes", comme "un as ! ... Mais un as à la remorque de la grosse colonisation". En somme "il prête le concours de son talent à l'esclavagisme" ; son œuvre s'inscrit en porte à faux du mouvement d'émancipation !
Si le Service de la Main-d'Œuvre des Travaux Publics d'Intérêt Général (SMOTIG) ne semble pas avoir préoccupé JJR - en tout cas nulle trace dans ses archives, à ce jour, ne permet de l'attester - il n'est pas un chien de garde du système totalitaire mis en place dans la Colonie. Qu'il ne soit pas un révolutionnaire marxiste n'enlève rien à son œuvre de valorisation du fond culturel malgache, première étape à une éventuelle indépendance.

Mots-clés :

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 CADENCES 1.jpg
A propos des vers de Pierre Camo

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Brimont 3 et 4.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Boudry 1.jpg
L'article porte la date du 19 juillet 1937 quand JJR se suicide le 22 juin 1937 ! Simple erreur ? Toujours est-il que ce brouillon
fait l'éloge du "dépouillement" ; humble parmi les morts, épousant leurs traces, l'âme ouverte à leur souffle, le poète accède à une "poësie nue comme les pierres et l'eau". Heureux qui parvient à cette béatitude et admire, avec un soupçon d'amertume, un JJR contemplatif, désabusé, adressant un dernier sourire par voie de presse à son ami Robert Boudry - lequel écrira à son sujet un vibrant hommage dont le titre pathétique, Jean-Joseph Rabearivelo et la mort, y parlant d'un "drame colonial", n'en est pas moins sincère.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN2 Orient appelle 1.jpg
JJR définit avec une intuition pleine de finesse les représentations de l'époque sur les rapports entre l'Occident et l'Orient. Ces lignes, demeurées apparemment inédites, apportent en effet un éclairage significatif sur le principe qui préside à la vie et à l’œuvre de JJR : l'équilibre harmonieux qu'il a voulu entretenir entre ses racines irréductiblement "orientales" et son statut pleinement assumé "d'indigène abreuvé de latinité".

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU MAN2 LIVRES PARTOUT 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU REV FB 3e salon 1.jpg
Rabearivelo, naturellement, se fait l'écho de toutes les manifestations artistiques de Tananarive et ses environs. Si peu nombreuses qu'elles fussent, il les suit d'autant plus près afin, justement, d'apporter les critiques nécessaires à une véritable "vie intellectuelle". Il s'attache donc à publier ses critiques, toujours constructives au point d'être professoral, jouant là son rôle de chef d'école et d’intellectuel Hova.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV Littérature malgache 1.pdf
Première publication en revue, sous le titre « Littérature malgache actuelle. Aperçu », dans le Journal de Madagascar franco-malgache, des 19/6/23, 22/6/23, 26/6/23, 29/23 et sq.

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV ES Notes poètes 1.pdf

Collection : Capricorne
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Collection : Capricorne
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU REV CAP3 1.jpg

Collection : Capricorne
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU REV CAP1 1.jpg

Collection : Capricorne
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
PRO TAP Ankevitry 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP Robson.jpg
Sur le peintre Thomas Robson, ou Robison

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU TAP Panorama 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU TAP LYSBER.jpg

Mots-clés : ,

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP Goncourt.jpg
Réponse à une enquête sur les prix Goncourt lancée en 1925 par la revue La Pensée latine, « organe d’action du Théâtre d’Art libre », dirigée par Georges Gallon, Gaston Avesque et Gérard de Catalogne. Rabearivelo y précise son jugement sur Batouala, de René Maran, prix Goncourt en 1921.
"Dans sa préface, le rédacteur en chef déplore la relativisation des mérites des auteurs et des œuvres, avant de suggérer que ce changement pourrait expliquer, au moins partiellement, les scandales qui entourent alors les prix. Et de proposer ensuite une sorte de révision du palmarès officiel depuis 1918 en fonction des atouts exclusivement « littéraires », cette fois-ci, des sept romans primés. Ainsi, tandis qu’ils plébiscitent Georges Duhamel et Ernest Pérochon devant Marcel Proust et Thierry Sandre, les contributeurs désavouent par 17 voix sur 25 le sacre de René Maran : Batouala remporte le titre du roman le plus médiocre et le moins digne d’honneurs." (Marie Carbonnel, « Juges contre jurés. Les critiques et les prix littéraires (1903-1932) », Mil neuf cent. Revue d'histoire intellectuelle, vol. 26, no. 1, 2008, pp. 31-50.)

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP1 Mada littérature fr 0.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP1 Lettre Tananarive 1.jpg
Rabearivelo se fait l'écho de la vie artistique tendue entre Vincennes - lors de l'Exposition 31 - et Tananarive. Il rebondit sur les discours officiels d'un Pierre Camo souhaitant que l'on « songeât sur place, et le plus tôt, à disputer à l'oubli déjà commençant l'âme même de ce pays enclose, dans sa vieille musique » et qu'à cet effet, l'on ouvrît un conservatoire. Gageant que cela ne saurait tarder avec "l'arrivée d'un gouverneur artiste et lettré, Léon Cayla" il joue son rôle de critique journaliste, avant que ce « proconsul » ne se révèle un autre "pontife", un "snob" luttant « des pieds et des mains – du postérieur et de la queue même, s’il le faut – pour que son vernis d’homme cultivé soit intact et même reluise davantage ! " Rabearivelo fit-il le pari de croire à ces rodomontades artistiques alors que l'Exposition n'était que la vitrine d'une propagande commerciale ; fallut-il que l'indigénat lui dessille les yeux, qu'un bref séjour en prison le rende moins optimiste sur l’œuvre humanitaire de la France à Madagascar ? Le regard paradoxal d'un "intellectuel colonisé" vitupérant contre l'hypocrisie de la Civilisation et la guerre du Maroc, et cependant, qui salue les peintres Pierre Heidman, Jeanne Delmas, les mécènes, autant de gens qu'il veut croire désintéressés et qui concourent à la mise en contact des cultures et des peuples. Utopie, en somme, d'une colonisation qui n'aurait pas été une entreprise de prédation. Fallait-il être « fou de langue française » et résigné à la Force militaire de l'Europe pour espérer des musées et de grandes écoles dans les Colonies ! Ou bien était-ce déjà de l'ironie désabusée quand il brise là : « certains comme nous le sommes que ce vœu ne tardera pas à être exaucé » ? Faut-il le rappeler, la censure d'un régime totalitaire s'y exerçait, témoins les exilés de la VVS. En tout cas, ironie rétrospective...

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU TAP1 Ilots 1.jpg

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU MAN1 Hommes oeuvres III 1.jpg

Collection : Le critique
Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP1 Guerre Maroc.jpg
Dans ce billet d'humeur au sujet du Maroc, sans doute daté de 1925, Rabearivelo dénonce la guerre franco-espagnole menée par Franco et Pétain contre Abd el-Krim et les rebelles marocains du Rif.
“La guerre du Maroc est une honte. La guerre du Maroc est un désastre, comme toutes les guerres du reste sinon plus. Je réprouve tout acte de violence, d’autant plus s’il y a mort d’homme. Je n’arrive pas à excuser l’Occident, lequel, sous prétexte de civiliser, veut s’ériger en maître sur une terre après en avoir tué les propriétaires naturels ou, au moins, acheté à vil prix la conscience".
Il se montre lucide : l'argument invoqué, "ô civilisation" ricane-t-il ! n'est qu'une vaste hypocrisie. Dans un ultime sarcasme, il regrette le manque de franchise de l'Europe, sans quoi tous les peuples asservis par la force des armes aduleraient leur vainqueur : ils ne demanderaient que ça ! Seulement, finassant avec ses principes de Justice et de Droit, l'Europe devient risible aux yeux des colonisés voyant clair dans son jeu. " Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde " constate Rabearivelo à travers cette ébauche d'un Discours sur le colonialisme...
Rabearivelo se rapproche de la diatribe de Rabindranath Tagore lancée à l'Occident ainsi que de la virulente description de son ami René Maran de la situation en Oubangui-Chari. Rabearivelo dessine sa figure " d'intellectuel colonisé " - comme il se définit lui-même dans ses Calepins Bleus. Cela signifie une meilleure acuité sur la situation afin de n'être dupe de personne et n'avoir qu'un rire de dédain à l'endroit des " welches ".

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur(s) : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU TAP1 Fiches lecture 1.jpg
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2