Espace Afrique-Caraïbe

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Votre recherche dans le corpus : 184 résultats dans 1109 notices du site.

Auteur : Fagus
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I feuillet mss 21x27,5, signé. Cite le poème "J'écarte sans trembler…"

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Auteur : Fagus
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En réponse, quelques mois plus tard, à l'envoi de Volumes.

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Collection : Solitudes [Les]
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 AMOURS ROYALES.jpg
Un poème qui évoque la légende du royaume d'Imerina en latence " sous [les] rochers moussus qu’abrite / un bel arbre " ; l’Histoire-à-délivrer du paysage que le poète seul peut sortir de terre. Le sonnet aura trouvé son public avec sa diffusion dans la Revue de Madagascar et Latitude-sud 18°. Rabearivelo y chante le mystère royal de l'Île Rouge, horizon d'attente d'un lectorat et d'un tourisme en plein essor.
La flânerie, cette envie de découvrir des peuples lointains et d'autres mœurs, fonde un nouvel habitus qu'incarne, par excellence, un Jean Paulhan, auteur du Repas et l’amour chez les Merina, un Jean d’Esme ; ou encore Pierre Benoît, Maurice Martin du Gard – que Rabearivelo fréquente lors de leur bref séjour à Tananarive -, deux écrivains " délaissant momentanément " la vie parisienne pour demander " au dépaysement colonial […] une occasion de renouvellement personnel ". Ils représentent ces hommes modernes de la plus Grande France " épris d'idéalisme à la fois et d'ordre matériel " qui ne poursuivent " d'autre espoir que de se perfectionner soi-même ".
La nostalgie des époques et des rois déchus s’accordent donc avec ce désir de perfectionnement moral ; après le temps de la conquête, règne la PAX ROMANA ; l’Esprit européen promène son cœur gonflé de songes à travers l’Empire...

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE EDIT PRESQUE SONGES 34 BM.pdf
Réédition numérique.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE EDIT LOVA 37.jpg
L’œuvre poétique de Jean-Joseph Rabearivelo en langue malgache est essentiellement connue du public grâce au petit volume intitulé Lova (Héritage), paru en 1957. Mais ce recueil poétique n’est pas un ensemble voulu par Jean-Joseph Rabearivelo ; c’est une anthologie destinée à mettre en valeur son oeuvre poétique en langue malgache, constituée après sa mort par un comité d’édition qui a rassemblé l’essentiel de sa production poétique en cette langue parue de son vivant dans les journaux de Tananarive. Lova a ensuite été republié en 1988 par le Ministère malgache de la Culture et des Arts Révolutionnaires, dans une version plus longue et beaucoup plus hétéroclite encore, puisqu’y ont été alors ajoutés d’autres poèmes parus dans différentes revues, ainsi que plusieurs éléments tirés des recueils Sary-nofy / Presque-Songes (1934) et Nadika tamin’ny alina / Traduit de la Nuit (1935), que nous ne reprenons bien évidemment pas ici. À cet ensemble de textes déjà conséquent, nous avons joint quelques poèmes passés inaperçus à l’époque de la parution de Lova et encore largement ignorés aujourd’hui.

Collection : Solitudes [Les]
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 Torride chaleur.jpg
Rabearivelo se met en scène, chez lui, dans sa bibliothèque où s'insinue l'air de la ville. La chaleur, si torride soit-elle, ne trouble pas sa quiétude. Le soleil ne lui tourne pas la tête, ni les tropiques n'astreignent les pensées du poète dont l'image, on le voit, ne relève plus de l'arsenal romantique ou du créateur habité de quelque divinité tutélaire. C'est avant tout un homme de métier campé dans son environnement familier : " autour de ma petite table, comme le marcheur se plaît sous un rameau, / j'ouvre mes livres... ".

Collection : Solitudes [Les]
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 FIN DE MUSIQUE.jpg
Indigène lettré, Jean-Joseph Rabearivelo découvre l'Indolence dans l'intimité des livres.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN2 FIN DE MUSIQUE.jpg
Jean-Joseph Rabearivelo évoque l'atmosphère d'une après-midi autour du kiosque à musique où les "voix rauques, / De leurs rythme brisés [...] s'en vont résonner encor jusqu'au fond des jardins, / Étouffer leurs échos dans les lumières glauques". À Tananarive, dans le parc de la Résidence, la Société Philharmonique, musiciens amateurs européens et indigènes, y donnait presque mensuellement des "concerts intéressants" relate la Revue de Madagascar. En outre, les cérémonies officielles venant rythmer la vie tananarivienne s'adjoignaient souvent d'une troupe de mpilalao, de hira-gasy, d'artistes indigènes - après avoir, évidemment ! passé, ou biaisé, la censure. Le sonnet se donne à lire comme une scène de genre.

Collection : Solitudes [Les]
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV 18LS Amours royales 1.jpg
Le premier poème célèbre les collines sacrées d'Ambohimanga où "est enfoui tout un secret, / hors de l'Histoire écrite" que les sens et l'imaginaire seuls peuvent excaver. Le second poème fait l'éloge d'un fruit royal concourt à la "légende" de l'Imerina. Jean-Joseph Rabearivelo se fait le chantre du royaume déchu : il invite non seulement ses compatriotes, mais n'importe quel étranger, voyageur, touriste à "faire son salut", ainsi que l'écrit Maurras devant Athènes, "bien voir le paysage en concevant à ce propos les plus belles pensées". Encloses dans la nature et les vestiges, "les idées que l’esprit a / depuis longtemps conçues / et qui naissent enfin et grandissent / avec des mots pour langes" ; tonon-kira - tonona parole et hira chant - fondent, dans l'esprit de Jean-Joseph Rabearivelo, le "fond poétique de la race" où gît la "personnalité" et "l'âme malgache". En ce sens, l'article "Monuments aux morts" juste après, s'accorde avec les vœux de Jean-Joseph Rabearivelo : la politique de la ville menée par l'Administration, en faisant d'un "coin charmant du vieux Tananarive" un lieu de commémoration de la Grande Guerre, substitue l'Histoire de France à la "rêverie historique" ; la propagande heurte la sensibilité des vazahas amoureux de l'île et porte atteinte au potentiel touristique. Jean-Joseph Rabearivelo est l'auteur avec Eugène Baudin de Tananarive, ses quartiers et ses rues publié aux presses de l'Imerina en 1937.

Collection : Calepins bleus
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Dernier tome du journal intime de Rabearivelo conservé par lui, contrairement aux cinq premiers tomes.

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Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Désert Djorah 1.jpg

INCOMPLET f°1 porte indication : I Désert, f°2 : II Djorah. Rassemblés par cohérence de papier et d'écriture. Voir Terres de soleil / Malle 1

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN2 Dédicaces 1.jpg

Titre général : Dédicaces - f°1 : A Sahondra ("D'un âge ingrat fleuri"), f°2 : A Pierre Camo ("Du signe de vieillir"), f°3 : A Marcel Ormoy ("Un miracle ennuyant"), f°4 : A Jean Lebrau ("Jean Lebreau, j'ai cuilli), f°5 : A Ramlijaona ("Le vent pourra souffler")

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Solitudes [Les]
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Ciment.jpg
Jean-Joseph Rabearivelo réagit à l’embellissement de la capitale de l’Île Heureuse - slogan poinçonné par la Revue de Madagascar. La ville européenne et moderne - ô civilisation ! - recouvre la Nature, délave « le beau rouge des murs » sous le « ciment de la Cité future ».
C’est l’indigène, natif et originaire de ce lieu, spectateur de sa disparition ; c’est aussi le poète, « je pense […] à Ronsard aussi, à la forêt de Gastyne », qui dénonce le saccage des « bûcherons » : l’Administration, toute à son rêve d’une cité radieuse sous les tropiques parfait l’œuvre de colonisation jusque dans l’accaparement du paysage.
Enfin, le support n’est pas innocent : le recto d’une enveloppe avec son adresse où la Marianne sème.. quoi d’autre que le « ciment » ? Jean-Joseph Rabearivelo joue avec le symbole de la France champêtre, geste artistique par lequel le manuscrit se donne à voir autant qu’à lire.
Les plaquettes, les originaux sont en effet en vogue, - son confrère Paul Valéry, quand on le sollicita pour une vitrine de l'Exposition, ne réalisa-t-il pas de faux manuscrits ?  Les Disjecta Membra - " membres épars ", les textes et documents que laisse un écrivain à sa mort - sont monnayables. Jean-Joseph Rabearivelo écrit dans ses Calepins : « ma foi : la moindre rognure de Verlaine, celle aussi de Toulet, ne trouve-t-elle pas acquéreur à des prix inouïs ? » À cet effet, Jean-Joseph Rabearivelo « verse au dossier » les ingrédients de la postérité : c’est la fabrique de l’écrivain ; la pièce se lit comme un combine-writing.

Collection : Vers dorés
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV JP32 1.jpg
« Douze poètes de l’Océan Indien », anthologie placée à la suite de l’étude « Îlots de poésie dans la mer des Indes », contient « Naissance du Poème » (« J’entends jaillir vos chants secrets… »), in Le Journal des Poètes, 2ème année, n° 3, Bruxelles, 30 avril 1932.

Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE EDIT CARTES POSTALES.jpg
Les deux petits poèmes, intitulés dans Chants d'Iarive « Pose » et « Fumeuse », furent des « Cartes postales » qui existent aussi sur un feuillet imprimé. Ils accompagnèrent des photos, le premier est dédié à Marguerite Rabako, dite Mary, la future femme du poète, l’autre à sa cousine tendrement aimée, Sahondra Razafindrafara.

Collection : Traduit de la nuit
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
THE EDIT IMAITSO Cantate VF 1.jpg
Première édition, 65 exemplaires numérotés.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe
Tsara Hafatra, 1ère année, n° 16, Tananarive, 11 mars 1927, p. 2.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe
Article collectif de Ny Avana Ramanantoanina, Charles Rajoelisolo, J.-J. Rabearivelo, 1934.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV MP Samuel Ratany.PDF

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Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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Achevé d'imprimer le 11 mars 1939. Il a été tiré de cet ouvrage, extrait de La Revue de Madagascar n°25, 135 exemplaires sur papier pur fil Lafuma.

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Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Presque-Songes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE REV CS POEMES.jpg
Quatre poèmes "extraits de Sari-nofy / Presque-Songes, et traduits du hova par l'auteur donnés dans la revue de son ami de France - ses "amis de France" ainsi qu'il les invoque. En l'occurrence Jean Ballard : Rabearivelo sollicite le directeur des Cahiers du Sud afin d'y être publié.
"Excusez-moi de paraître ou impatient, ou gonflé de suffisance - mais je suis sûr d'être dans le ton de votre revue, et puis j'estime qu'il est temps de nouer des relations avec Madagascar." (Lettre du 15 août 1931).
L'édition  de CNRS Éditions (collection Planète Libre), reproduit la correspondance entre les deux hommes qui s'ensuit. Rabearivelo s'intronise correspondant de Madagascar. Et de choix ! Puisqu'ainsi que la signature l'atteste, il traduit du hova. Rabearivelo offre donc au lecteur francophone un accès privilégié à la culture hova dont il se revendique : il cherche à faire entrer son île sur la "carte de l'Esprit" (Calepins Bleus).

Collection : Traduit de la nuit
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE MAN1 PRESQUE SONGES 29.jpg
Phase rédactionnelle : état 1 ? (nous n'avons pas retrouvé d'état antérieur).
La présentation des poèmes sur la page suit toujours le même principe directeur : la page est scindée en deux parties approximativement égales, par un trait tracé après l'écriture. 
La version malgache figure à gauche, la version française à droite, souvent serrée sur le bord du feuillet. Les poèmes sont très souvent raturés, avec la même encre utilisée pour l'écriture, à tel point qu'il est parfois difficile de lire la version définitive. 
La date d'écriture, identique, est portée à la fin des deux versions.
Le premier poème est daté du 19/9/31, le dernier du 22/5/32. 

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM ETU REV FB Tagore.pdf

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Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
Espace Afrique-Caraïbe
 Revue Zodiaque Juin 1926 + Poème à R.E. Hart

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Collection : 18° Latitude Sud
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
ETU REV 18LS Ambohimanga 1.jpg
Un corpus constitué et traduit par Jean-Joseph rabearivelo.

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM PRO REV JFM Tsilo.pdf
Feuilleton de cape et d'épée, rappelant le style de Zevaco

Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
NUM POE MAN1 Coeur amoureux 1.jpg
Rabearivelo se livre au jeu de l'interférence : c'est le motif de l'individu aux prises avec la diversité des cultures ayant à élire ou tenter l'amalgame de leurs caractères dans un langage autre, les créoliser pour inventer une nouvelle poétique. Il faut faire œuvre, mais de précurseur, car " nul arbre n’a plongé ses vivaces racines / dans le sol différent de trois vergers contraires ! " Alors où fixer son âme et épanouir sa personnalité ? " L’Europe froide où va le meilleur de toi-même, / L’Asie au ciel aussi rose que ton poème, / l’Afrique, ta source et limpide et profonde" ? Toutes gardent les origines malgaches. Leur ouverture les unes sur les autres, la mise en relation, seule, peut résoudre le mythe fondateur et formuler l'identité commune. C'est effectivement " comme un arbre inconnu " que le poète " plonge [ses] racines / Dans les sols différents de ces terres lointaines ".
Rabearivelo avait la prescience du chaos des peuples et des cultures ; que leur contact devait être pensé pour que se réalise, chacun apportant sa " contribution à l’humanisme français " pour qu'il devienne " véritablement universel parce que fécondé par les sucs de toutes les races de la terre " ; c’est ce que L.-S. Senghor appréciait en Rabearivelo, " précurseur " isolé de la négritude.
Rabearivelo entrevoyait, dans les années 1920, face à une mondialité subie par l’ensemble des cultures extra-occidentales, le besoin de " jeter les bases d’une fraternité universelle, et cela, non par les moyens d’un communisme utopique et prometteur de conflits, mais par ceux d’une interpénétration possible et génératrice de paix ". Ainsi s’élabore cette mise en contact des cultures, dans les cahiers et sa bibliothèque, en porte-à-faux d’une prétendue œuvre civilisatrice.

Collection : Volumes
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
POE EDIT VOLUMES 1.jpg
Le recueil Volumes marque une ouverture sur un bonheur puisé dans la douceur de vivre en accord avec le rythme des jours. Le poète, sans abandonner la thématique de l'exil intérieur, célèbre sa terre natale, le climat et la végétation de celle-ci avec une petite note décadente. (Karolina Resztak, 01.10.2014).

Collection : Chants d'Iarive
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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L'épitaphe - " Il est un monde qui doit mourir " - montre un Rabearivelo au carrefour des mouvements culturels : la citation est de Paul Husson, fondateur de la revue Montparnasse ; au cœur des modernités picturales de l’entre-deux-guerre, celle-ci publia notamment les premiers calligrammes de Guillaume Apollinaire ; ouverte sur le monde, l’équipe de rédaction proclamait dans le premier numéro, du 20 juin 1914 : '' nous saurons accueillir l’artiste isolé qui travaille loin des coteries : et si son œuvre est belle, nous lutterons de toutes nos forces pour qu’il soit donné la place qui lui est due ''. Le récipiendaire est en effet tout trouvé (!) pour un Rabearivelo qui vise à se faire un Nom et une place dans les milieux artistiques parisiens, et plus largement européens. D’autant qu’en juillet 1921, après l’interruption de la Grande Guerre, le comité de rédaction clame en larges lettres que l’objectif reste inébranlable ; et mieux, se pose au sein de '' ce grand carrefour intellectuel où se coudoient les fils de toutes les races unis en un commun idéal d’art ''.
Du quartier du Montparnasse à Tananarive, par voie de presse et de correspondance, se crée un salon virtuel, un forum '' où l’art de demain s’élabore, où se prépare peut-être la fusion des peuples de l’Europe et du Monde ''. Encore une fois, la mise en exergue, l’épitaphe, la citation, n’a rien du hasard ou de la pose, tout concourt à une stratégie - astucieuse parfois jusqu’à mettre en jeu sa " probité littéraire " (Carnets Bleus). Derrière ces procédés, se lit la volonté non plus seulement d’écrire mais d’être écrivain.

Collection : Sylves
Auteur : Rabearivelo, Jean-Joseph
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La section "Dixains" de Sylves comporte douze poèmes, en mètres classiques. Toutes les pièces impaires sont en alexandrins. Les autres ont des mètres plus courts : de sept à dix syllabes sauf pour le n° 8 où alternent octosyllabes et alexandrins.

Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2