Cette recension non signée dénie d'emblée toute pertinence à établir un lien entre création littéraire et appartenance raciale.
Le lecteur est invité à appréhender ce récit, non pas comme l'œuvre d'un "écrivain de couleur", mais plutôt celle d'un écrivain comme les autres, doté de "dons d'observation et de compréhensive sympathie" qui lui fait découvrir, avec une très grande puissance de suggestion, les paysages de la brousse africaine, ainsi que les scènes de vie de ses habitants.
- Jacques May (1879-1951) journaliste à L’Auto, à Comoedia. Il est l’auteur de L’ABC du Jiujitsu (1906), La littérature sportive contemporaine (1924).
- ‘Ce petit livre’ : le texte fait 76 pages.
- Eugène-Melchior de Vogüe (1848-1910) a publié Jean d’Agrève en 1897 (A. Colin).
108- Marcel
- Armand Godoy (1880-1964) poète cubain écrivant en français. En 1932, il a déjà publié une trentaine d’ouvrages.
]]>107- La Vie de M. l’abbé Bozon, curé de Porquerolles
- Jacques May (1879-1951) journaliste à L’Auto, à Comoedia. Il est l’auteur de L’ABC du Jiujitsu (1906), La littérature sportive contemporaine (1924).
- ‘Ce petit livre’ : le texte fait 76 pages.
- Eugène-Melchior de Vogüe (1848-1910) a publié Jean d’Agrève en 1897 (A. Colin).
108- Marcel
- Armand Godoy (1880-1964) poète cubain écrivant en français. En 1932, il a déjà publié une trentaine d’ouvrages.
Documents illustrant la mission de Victor Jean-Louis au Burundi en 1966.
Documents illustrant la mission de Victor Jean-Louis au Burundi en 1966.
Sony Labou Tansi, Ici Commence Ici, Yaoundé, CLÉ, 2013, 79 p.
"À l’automne 1994, un courrier de Sony Labou Tansi adressé à l’auteur contenait ces poèmes, non titrés, simplement numérotés, ne portant aucune indication quant au recueil d’où ils avaient été extraits. Chaque texte était dactylographié sur une seule et unique page. L’ensemble, constitué de doubles obtenus au carbone, est relativement ancien si l’on en juge par l’état du papier ; il comporte quelques corrections de la main de l’écrivain."
Pour établir le texte de la présente édition génétique, J.-M. Devésa nous a gracieusement transmis en janvier 2015 une copie numérique non seulement des six poèmes déjà publiés, mais aussi des quatre restés inédits, soit la moitié de ce recueil dont on peut raisonnablement supposer qu’il comptait au moins 20 poèmes. L’autre moitié est toujours portée disparue (il manque les poèmes 1, 3, 4, 7, 8, 12, 14, 16, 17, 18).
[1] J.-M. Devésa, Sony Labou Tansi. Écrivain de la honte et des rives magiques du Kongo, Paris, L’Harmattan, 1996, 379 p. ; pp. 337-355.
10 feuilles de format courant (21 x 29 cm), chacune portant au recto un poème numéroté (2, 5, 6, 9, 10, 11, 13, 15, 19, 20), envoyées par l’auteur à J.-M. Devésa. Celui-ci, avec l’autorisation écrite de Yavelde, la fille aînée de Sony, publie dans son essai biographique[1], les six derniers poèmes sans leurs numéros d’ordre, précédés de cette notice :
"À l’automne 1994, un courrier de Sony Labou Tansi adressé à l’auteur contenait ces poèmes, non titrés, simplement numérotés, ne portant aucune indication quant au recueil d’où ils avaient été extraits. Chaque texte était dactylographié sur une seule et unique page. L’ensemble, constitué de doubles obtenus au carbone, est relativement ancien si l’on en juge par l’état du papier ; il comporte quelques corrections de la main de l’écrivain."
Pour établir le texte de la présente édition génétique, J.-M. Devésa nous a gracieusement transmis en janvier 2015 une copie numérique non seulement des six poèmes déjà publiés, mais aussi des quatre restés inédits, soit la moitié de ce recueil dont on peut raisonnablement supposer qu’il comptait au moins 20 poèmes. L’autre moitié est toujours portée disparue (il manque les poèmes 1, 3, 4, 7, 8, 12, 14, 16, 17, 18).
[1] J.-M. Devésa, Sony Labou Tansi. Écrivain de la honte et des rives magiques du Kongo, Paris, L’Harmattan, 1996, 379 p. ; pp. 337-355.
Les 36 poèmes du recueil figurent sur le recto des pages, tête-bêche avec ceux des Yeux de l’espoir, et ont sans doute été écrits avant ces derniers. Les textes n’ont pas de titre, mais tous portent un numéro. Il est probable que les indications La Vie privée de Satan, « Maxi-préface», « Mini-préface », ainsi que les numéros des poèmes ont été ajoutés après leur composition. En effet, le paratexte a été écrit avec un stylo noir et les poèmes dans une encre bleue, alors que les indications qui les accompagnent ont été notées à l’aide d’un même feutre noir. A la différence des manuscrits précédents, les changements d’encre sont très peu nombreux1. 14 poèmes sont biffés par une rature d’utilisation. Sept textes font l’objet d’une reprise dans l’anthologie Poèmes de Sony Labou Tansi, présentée dans les maisons d’édition parisiennes au cours de l’ été 1973.
Les initiales «Y. E» ont été reportées à côté des poèmes nos 33 et 35 avec un feutre bleu. Une fois son recueil achevé, peut-être Sony Labou Tansi les avait-il destinés à intégrer Les Yeux de l’espoir ? Une feuille volante a été insérée dans le manuscrit. Son bon état contraste avec les pages jaunies et parfois tachées du cahier. On y lit le fragment d’un poème composé bien plus tard et qui figure dans les recueils Ici commence ici et L’Acte de respirer. Sony Labou Tansi consacre les cinq dernières pages du cahier à l’écriture du deuxième chapitre du roman Ces Hommes qui fatiguent les chiffres, dont deux versions se trouvent à la BFM. L’écrivain utilise un stylo noir à l’exception de la mention chapitre inscrite à l’encre bleue. Les ratures sont peu nombreuses et l’on remarque sur la dernière page un ajout qui semble ne pas avoir de liens avec le roman : « (Laissez passer – je m’en vais voir ma chute.) Chasseurs d’illusions, homme avorté – ». Rien n’indique que ces fragments romanesques et poétiques aient été composés à la même période que VPS.
]]>Le titre est écrit en lettres capitales avec un feutre noir et un stylo bleu. Le pseudonyme utilisé pour signer ce manuscrit – Sony-Lab’ou-wa-Lab’ou Tansi – est souligné. Une « Maxi-préface », qui s’étend sur quatre folios, s’achève par un poème. Une dédicace signée « Sony » apparaît sur la page suivante : « À tous ceux qui sont morts ou bien vivent pour une cause qui n’est pas une cause ». Le dernier élément du paratexte de La Vie privée de Satan (VPS) est une « Mini-préface » également signée « Sony ».
Les 36 poèmes du recueil figurent sur le recto des pages, tête-bêche avec ceux des Yeux de l’espoir, et ont sans doute été écrits avant ces derniers. Les textes n’ont pas de titre, mais tous portent un numéro. Il est probable que les indications La Vie privée de Satan, « Maxi-préface», « Mini-préface », ainsi que les numéros des poèmes ont été ajoutés après leur composition. En effet, le paratexte a été écrit avec un stylo noir et les poèmes dans une encre bleue, alors que les indications qui les accompagnent ont été notées à l’aide d’un même feutre noir. A la différence des manuscrits précédents, les changements d’encre sont très peu nombreux1. 14 poèmes sont biffés par une rature d’utilisation. Sept textes font l’objet d’une reprise dans l’anthologie Poèmes de Sony Labou Tansi, présentée dans les maisons d’édition parisiennes au cours de l’ été 1973.
Les initiales «Y. E» ont été reportées à côté des poèmes nos 33 et 35 avec un feutre bleu. Une fois son recueil achevé, peut-être Sony Labou Tansi les avait-il destinés à intégrer Les Yeux de l’espoir ? Une feuille volante a été insérée dans le manuscrit. Son bon état contraste avec les pages jaunies et parfois tachées du cahier. On y lit le fragment d’un poème composé bien plus tard et qui figure dans les recueils Ici commence ici et L’Acte de respirer. Sony Labou Tansi consacre les cinq dernières pages du cahier à l’écriture du deuxième chapitre du roman Ces Hommes qui fatiguent les chiffres, dont deux versions se trouvent à la BFM. L’écrivain utilise un stylo noir à l’exception de la mention chapitre inscrite à l’encre bleue. Les ratures sont peu nombreuses et l’on remarque sur la dernière page un ajout qui semble ne pas avoir de liens avec le roman : « (Laissez passer – je m’en vais voir ma chute.) Chasseurs d’illusions, homme avorté – ». Rien n’indique que ces fragments romanesques et poétiques aient été composés à la même période que VPS.
Propriété des documents :
Famille Sony Labou Tansi
Tous les indices matériels (même papier, même machine à écrire, et surtout le chiffre 12 figurant parmi les 10 poèmes manquants) concourent à restituer ce poème isolé et orphelin, à la 12e place qu’il avait dans le recueil d’origine. D’où Sony avait dû le distraire pour lui faire un sort à part, en le renommant « Testament » de la même encre bleue que les autres corrections manuscrites. Le fait que ce poème singulier s’ajuste exactement dans le puzzle à présent moins lacunaire (neuf poèmes perdus, un poème retrouvé) et que sa nouvelle fonction testamentaire est affirmée en toutes lettres nous donne une piste pour tenter, d’une part, de reconstituer la ténébreuse affaire des neuf disparus et, d’autre part, de restituer son titre au recueil.
]]>Le nombre 12 précède le titre. La mention « 11. inventaire » fait référence à notre premier inventaire du fonds, en 1996, publié en 2003 dans le numéro 15 des Études Littéraires Africaines.
Tous les indices matériels (même papier, même machine à écrire, et surtout le chiffre 12 figurant parmi les 10 poèmes manquants) concourent à restituer ce poème isolé et orphelin, à la 12e place qu’il avait dans le recueil d’origine. D’où Sony avait dû le distraire pour lui faire un sort à part, en le renommant « Testament » de la même encre bleue que les autres corrections manuscrites. Le fait que ce poème singulier s’ajuste exactement dans le puzzle à présent moins lacunaire (neuf poèmes perdus, un poème retrouvé) et que sa nouvelle fonction testamentaire est affirmée en toutes lettres nous donne une piste pour tenter, d’une part, de reconstituer la ténébreuse affaire des neuf disparus et, d’autre part, de restituer son titre au recueil.
Propriété des documents :
Famille Sony Labou Tansi
Dépôt des originaux :
Bibliothèque francophone multimédia de Limoges
2, place Aimé Césaire
87032 Limoges Cedex
Demande de communication :
Tél : 05 55 45 96 00
05 55 45 96 79
Contact par courriel : <olivier_morand@ville-limoges.fr>
La plupart des corrections – qu’il s’agisse des ratures ou des ajouts – sont apportées dans une encre différente de celle utilisée pour rédiger les poèmes, ce qui nous incite à formuler l’hypothèse de variantes de lecture issues de plusieurs campagnes d’écriture. La première version des poèmes n. 20, 21 et 22 semble être allographe, car la graphie y est différente de celle du poète. Tous trois font l’objet d’une reprise. Sony Labou Tansi introduit des variations et opère une fusion des poèmes n. 20 et 21. La quasi-totalité des textes est biffée par une rature d’utilisation `a l’encre bleue. Trois d’entre eux sont en partie réécrits pour figurer dans Poèmes de Sony Lab’ou Tansi, anthologie présentée aux maisons d’édition parisiennes en 1973.
]]>La plupart des corrections – qu’il s’agisse des ratures ou des ajouts – sont apportées dans une encre différente de celle utilisée pour rédiger les poèmes, ce qui nous incite à formuler l’hypothèse de variantes de lecture issues de plusieurs campagnes d’écriture. La première version des poèmes n. 20, 21 et 22 semble être allographe, car la graphie y est différente de celle du poète. Tous trois font l’objet d’une reprise. Sony Labou Tansi introduit des variations et opère une fusion des poèmes n. 20 et 21. La quasi-totalité des textes est biffée par une rature d’utilisation `a l’encre bleue. Trois d’entre eux sont en partie réécrits pour figurer dans Poèmes de Sony Lab’ou Tansi, anthologie présentée aux maisons d’édition parisiennes en 1973.
Supplément à la revue Signes. Nantes : Éd. du Petit véhicule, collection Art-chives, 1e série, n°9, 2006, 14 p.
]]>Supplément à la revue Signes. Nantes : Éd. du Petit véhicule, collection Art-chives, 1e série, n°9, 2006, 14 p.
Nous vous livrons cette semaine un des textes inédits de Sassine
Président, j'ai appelé à la présidence
J'ai appelé le ministre des finances
J'ai téléphoné à la culture, mais ils ont déménagé
J'ai téléphoné à un taxi, mais on m'a dit ici, c'est un ministère
J'ai appelé un ami, lui il m'a dit je vais voir le gouvernement qui me doit
Je suis allé à Enelgui, on m'a répondu « on verra »
Au cimetière de Donka, on m'a rassuré : « si tu veux une place, tu fais une courte maladie »
J'ai écouté Alpha Blondy, il faisait beau. mangues (sic) pendouillaient tristes comme un polygame obligé de se lever très tôt pour ne pas donner le prix du sel.
Bâ Banque Route était attendu. Les marchés fermés. Des enfants bouchaient les rues avec des branches arrachées qui saignaient. Ils chantaient le nom de Lan-Chat-na.
A côté Alpha Grimpeur recevait un cheval et un hamac. On m'a dit un de tes copains vient de mourir. Il avait fait 30 ans dehors sans mourir. Un autre s'est approché pour me confier « un ancien ministre m'a escroqué ».J'ai demandé quel ancien ministre ? Tous les ministres et présidents seront anciens. Il m'a dit encore, « toi tu fais de la politique, je ne veux pas d'histoire »
J'ai acheté alors une mangue qui avait l'air gai. Une mangue de Kindia. En pensant à un ami maintenant en Suisse, torturé et renvoyé de son service. Djibi Thiamje te salue.
Je n'avais même pas fini de le saluer, qu'une « connaissance »m'a dit : je sais que tu viens du Canada. Est-ce que tu m'as apporté mes journaux porno ?
Il m'a raconté la suite, enfin...après qu'il a feuilleté les belles filles. De quoi allumer tout le quartier, gratis ! Il faudrait brancher ce vieux sur Enelgui.
Je commençais à me reposer, quand le hamac m'a laissé tomber. Alors je me suis dit que la journée commençait bien. D'ailleurs, on tapait à la porte. C'était un agent d'Enelgui venu pour couper. Alors je me foutais qu'on coupe ce qui est déjà coupé. On coupe les arbres, et le reste. Alors pourquoi pas le courant ? Il m'a demandé « toi, Guinéen ? » je lui ai répondu, « la Guinée est rouge, jaune, vert ». Il m'a dit qu'il reviendra.
Dix minutes après, j'ai été obligé de rechercher ma chèvre. Elle était partie brouter à côté. Un type m'a dit « ta chèvre est à Madina, je l'ai vue là-bas » j'ai dit : « tu es sûr que c'est ma chèvre ? » il a répondu « sur les seins de ma mère, ce n'est pas cette chèvre qui bêle ! »
A Madina, j'ai demandé une chèvre qui bêle. On m'a présenté des moutons. Ils bêlaient tous ! J'ai cherché dans le tas, un chameau mais il n'y en avait pas. Un éléphant ou un tigre du Bengale auraient pu faire mon affaire, mais c'est comme si vous demandiez le bon dieu. C'est pour ca que le pape n'est pas resté longtemps. Heureusement qu'il n'est pas allé à Kankan. Là-bas on attrape les poissons dès qu'ils ont leurs dents de lait.
Alors je suis revenu. Mais le hamac avait disparu. Si j'étais resté un peu plus longtemps, je n'aurais pas retrouvé la maison. Le proprio était à la porte. Il m'a dit : « c'est toi qui logesici ? »Je lui ai dit « depuis plus d'un an », il a rétorqué ;« on se voit après ? » J'ai rétorqué à mon tour « Dans plus d'un an. Le délai n'est pas trop court ? »Il a eu l'air satisfait.
Et puis je me suis souvenu que j'avais des enfants à Poly et d'autres qui préparent le bac. Pas le bac de Kouroussa qui marche rarement ! Il y a une qui m'a parlé d'intégrale, l'autre d'intégration. Un autre a ajouté, c'est quoi la désagrégation d'une université ? Et un autre encore m'a parlé d'agrégation. J'ai pris les dictionnaires, mais il paraît que quelqu'un était venu, et avait prétendu que je l'avais envoyé pour réparer mes lunettes. Il est parti avec mes verres.
J'ai répondu : vos problèmes de toutes façons, je ne veux pas les voir ! En ce moment, un type est entré. Le chien a aboyé, il lui a donné un coup à la gueule. Je crois que lui et les chiens se connaissent depuis longtemps. Vous voulez des soutiens-gorge et des sardines ?J'ai répondu : est-ce que je suis une femme ou un poisson ? ».Le chien n'était pas d'accord pour que je lui réponde, mais est-ce que je n'ai pas le droit de parler chez moi ?
Tu es un patron, tu es petit, mais toi, très fort. Beaucoup d'argent, toi un peu blanc.
Comme si c'était moi qui vendais les bauxites. Je n'ai rien dit Monsieur le président. Vous nous connaissez au Lynx. On voit mais on ne parle pas beaucoup. La preuve, c'est un résumé d'une journée que je vous donne. Ensuite j'ai été au Musée. Et puis encore j'ai vu des musiciens. Quand tu les vois tu es triste, quand tu ne les vois pas tu penses à eux. Ils sont enceints de notre culture.
Et la pluie a commencé. Ce n'est pas la pluie qui embête, ni la tête qui sera mouillée, mais où mettre les pieds ?
Conakry est bonne à visiter en hélico. Sauf que votre hélicoptère n'appartient qu'à vous. Dites aux chauffeurs de cet appareil de changer de parcours. La Guinée est assez grande. Alors on ne va pas se bagarrer pour un morceau de ciel. Si Bana Sidibé était là, j'aurais fait lotir mon morceau là-haut.
Quand la pluie a refusé de s'arrêter, je suis sorti pour trouver à manger. Mais je suis revenu après dix pas. J'ai oublié de faire ma chronique, mon billet et mon poing de vue pour le Lynx, un de vos journaux préférés. Il paraît que la présidence a l'intention de s'abonner.La lecture forme la jeunesse. Vous êtes jeune encore. Alors si vous voulez vivre sans mourir, il ne faut pas mourir sans vivre.
A bientôt ou « bientard » mon général !
Williams Sassine
PS : j'oubliais mon général ! Tous les partis veulent votre départ. Pourquoi ne créez vous pas 50 autres partis qui vous apporteraient leurs soutiens ? C'est chat la démocratie ! On attend votre abonnement. On vous fera un prix présidentiel. Dépêchez-vous, la monnaie glisse. En plus il commence à pleuvoir.
Merci encore de cette liberté.
Dernière chronique de Williams Sassine
La chance aux fictifs !, - Charlot défie le lapin !, – Chœurs et rancoeurs !, – C’est Coco-tsé-toung !, – Coup de …Ballet !, – Du macro au micro économique !, – Nettoyage à…la Sid ! – Des pions et des préfets !, – Le show…BID !, – Le vrai compte du faux-dé !,– L’affaire du tanker…Contée !, – Le décompte courant !, – Cokoweit AND SI… !, - Reléguer le dépit Économique !, – La liste BIDON ! , – Fory Coco repêche ! ,– La Pajero est tournée !, – Attention au contre leurre ! , – Une affaire maga …zinzin ! , – Codemerde ! ,– Les faux-dés sont jetés !, – Des avocats…Amers ! , – Alpha grimpe le CNC ! , - Chauve qui peut ! , – Ulimort à Yézou ! , – Des rues meurent ! , – Les tirs Obus ! , – Entre le show et l’effroi ! – Le poing de la situation ! , – De Cona-CRIS à BAMA-KOUACS ! - La complotite ! , – SOMP PIPE du SID à Abidjan !, - Le Sherif et l’homme dévalué perdu ! – Un coup fouillé ! – Des mutins …En « sûreté » ! , – Un règlement Conté !, – La potion d’Avril de Fory Coco ! , – La Douane à feu ! , – Le Mali serre Lamine ! , – Fory Coco saute Dan Fonio ! , – La potion magique de Fory Coco ! , – Braise à Conakry ! , – La Guinée se foot L’Can ! , – Docteur Honoris-Causeur, Bonne année ! – Le goût d’Etat ! , – Une truelle Epreuve !...